Ca s’est passé hier à Gap (05). Chargé de mission pour la réforme du lycée et accessoirement directeur de Science Po Paris, Richard Descoings s’est rendu au lycée Aristide Briand dans la (grande) capitale des Hautes-Alpes. Quelque peu chahuté par des lycéens acerbes, il ne s'est pas débiné pour autant.
Un tour de France des lycées
Entamant sa tournée de 100 lycées à travers le France, le dirlo a fait étape dans les Hautes Alpes pour écouter les revendications des lycéens gapençais. Arrivé 1h15 en retard et sans un mot d’excuse, le médiateur s’est fait chahuter, certains élèves refusant de lui serrer la main. Parents d’élèves, professeurs et lycéens se sont retrouvés pour débattre (enfin) de la réforme des lycées. Confrontant espoirs et angoisses, cette réunion a pour but de réparer les erreurs de Xavier Darcos sur la réforme du lycée.
Un oral réussi pour le directeur ?
Pris en grippe par certains lycéens, mécontents de l’attitude des politiques face à la question lycéenne, Richard Descoings s’évertue à montrer « sa capacité à écouter ». Dans la salle polyvalente où s’est déroulée la réunion, on avait même mis en place un dispositif interactif. Les intervenants pouvaient envoyer un SMS à un numéro, le contenu du message passant sur écran géant. Se faire entendre aurait donc un prix.
Entamant sa tournée de 100 lycées à travers le France, le dirlo a fait étape dans les Hautes Alpes pour écouter les revendications des lycéens gapençais. Arrivé 1h15 en retard et sans un mot d’excuse, le médiateur s’est fait chahuter, certains élèves refusant de lui serrer la main. Parents d’élèves, professeurs et lycéens se sont retrouvés pour débattre (enfin) de la réforme des lycées. Confrontant espoirs et angoisses, cette réunion a pour but de réparer les erreurs de Xavier Darcos sur la réforme du lycée.
Un oral réussi pour le directeur ?
Pris en grippe par certains lycéens, mécontents de l’attitude des politiques face à la question lycéenne, Richard Descoings s’évertue à montrer « sa capacité à écouter ». Dans la salle polyvalente où s’est déroulée la réunion, on avait même mis en place un dispositif interactif. Les intervenants pouvaient envoyer un SMS à un numéro, le contenu du message passant sur écran géant. Se faire entendre aurait donc un prix.
Soit, on ne peut que féliciter l’initiative gouvernementale qui vise une plus grande écoute mais quid de la capacité à comprendre et prendre en compte ? Espérons qu’après son petit tour de France, le médiateur ne répètera pas le piètre exemple du président de la République.
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